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lesdebsaroundtheworld.com

Le tour du monde d'une famille en camping-car

Focus : Les mystères de Nazca

Quel Focus terriblement intéressant à réaliser !

On se gave d'histoire actuellement, on lit beaucoup sur Nazca, on visite, on regarde du documentaire... en bref cette partie de l'histoire du Pérou nous hypnotise carrément !

C'est donc à moi maintenant d'essayer de vous convertir et de vous intéresser à cette histoire, dont vous aurez la possibilité de vous faire votre propre fin ! Car le grand principe de la culture Nazca réside ici même : Il n'existe aucune certitude, ni sur les lignes laissées au sol dans le désert sur plusieurs Kilomètres, ni sur leur coutume et leur mode de vie !

En avant, j'enclenche ma machine à remonter le temps et je vous emmène dans un des déserts les plus arides du monde qui a pourtant fait vivre une grande civilisation : Le désert de Nazca.

Le désert de Nazca, vue du ciel !
Le désert de Nazca, vue du ciel !
Le désert de Nazca, vue du ciel !

Le désert de Nazca, vue du ciel !

Premier Mystère...

Les géoglyphes de Nazca, appelés communément "lignes de Nazca", sont de grandes figures tracées sur le sol au milieu du désert de Nazca, souvent en forme d'animaux stylisés, parfois de simples lignes longues de plusieurs kilomètres !

Le sol sur lequel se dessinent ces géoglyphes est couvert de cailloux que l'oxyde de fer colore en rouge. En les ôtant, les Nazcas ont fait apparaître un sol gypseux grisâtre, découpant ainsi les contours des figures qu'ils traçaient.

La chaleur des Pierres de surface créer une atmosphère près du sol qui "écarte" le vent, ainsi le sable ne vient pas recouvrir les figures.

Chaque roches déplacées à subit au fil du temps un "ancrage" dans le sol du désert par le biais d'un phénomène d'humidité matinale, séchage rapide au soleil en début de journée.

Ce phénomène à permis de "sertir" les roches dans le sol et ainsi de conserver la forme des dessins intacts, comme au premier jour de leur réalisation.

Incroyable non ? comme si vous faisiez un château de sable sur la plage et que 2000 ans après il n'avait pas bougé de place...

 

En route pour les lignes de Nazca !
En route pour les lignes de Nazca !
En route pour les lignes de Nazca !
En route pour les lignes de Nazca !
En route pour les lignes de Nazca !
En route pour les lignes de Nazca !

En route pour les lignes de Nazca !

Découverts en 1927, ces géoglyphes sont donc du fait de la civilisation Nazca, une civilisation pré-incaïque qui se développa entre 300 av. J.-C. et 800 de notre ère.

Ils ont été réalisés pour la plupart entre -200 et 600.

Ces lignes et géoglyphes sont inscrits, sous la désignation « Lignes et géoglyphes au Nasca et Palpa », sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1942 !

Il est quasiment impossible de les discerner du sol... et c'est ici que le mystère commence : A quoi pouvait leur servir ces dessins ?

C'est à bord d'un Cesna 6 places que nous partirons dans le ciel de Nazca pour un vol de découvertes des principales lignes de Nazca.

 

Le premier dessin se découvre juste après le décollage : La baleine !
Le premier dessin se découvre juste après le décollage : La baleine !
Le premier dessin se découvre juste après le décollage : La baleine !
Le premier dessin se découvre juste après le décollage : La baleine !
Le premier dessin se découvre juste après le décollage : La baleine !

Le premier dessin se découvre juste après le décollage : La baleine !

Ces imposantes figures, visibles uniquement depuis le ciel, ont depuis leur découverte intrigué bon nombre de spécialistes en raison de leur diversité, de leur quantité et de leur taille.

Par qui ont-elles été tracées ? de quelle manière et dans quel but ? Nous ne vous donnerons pas de réponse certaines... mais des pistes et vous retiendrez l'histoire qui vous semblera la plus probable pour justifier la présence de ces énigmatiques géoglyphes....

Car au total, ce sont plus de 320 dessins qui s’étalent sur une superficie de plus de 450 km² qui furent recensés.

Cette démarche scientifique permit de mettre en évidence la grande variété des figures, aussi bien au niveau de leur représentation que de leur taille.

En effet, si certains dessins prennent la forme de créatures vivantes stylisées, de végétaux ou d’êtres fantastiques, d’autres représentent quant à eux des figures géométriques plus ou moins complexes.

De même, alors que les représentations d’animaux varient entre 5 et 230 mètres de long, certaines lignes ou formes géométriques peuvent s’étaler sur plusieurs kilomètres !

L'astronaute, représentation Humaine... ou extraterrestre ?
L'astronaute, représentation Humaine... ou extraterrestre ?L'astronaute, représentation Humaine... ou extraterrestre ?
L'astronaute, représentation Humaine... ou extraterrestre ?

L'astronaute, représentation Humaine... ou extraterrestre ?

Le singe !
Le singe !Le singe !
Le singe !

Le singe !

Les différentes hypothèses...

Hypothèse de réalisation :

L'Américain Jim Woordman est parti du principe que les géoglyphes ne pouvaient avoir été tracés qu'en faisant appel à un engin volant (le seul moyen de les voir correctement).

Il émit l'hypothèse de l'emploi de ballons type ballon à air chaud, représentés selon lui sur des tessons de poterie.

Pour étayer cette hypothèse, il construisit même un ballon à l'aide des techniques et des matériaux (bandes de toile, cordes) utilisés par les Nazcas dans la momification des corps !

Mais les dessins de ballons ne sont en fait que des haricots en train de germer, et le ballon, quelque peu poreux, ne s'éleva pas plus haut que de 90 m et ne vola que deux minutes avant de retomber brutalement !

Hypothèse Radiesthésiste, concernant leur utilité :


Un autre Américain, David Johnson, partira du principe que les Nazcas avaient fortement développé l’irrigation pour pallier le manque d’eau chronique dans cette région en construisant des puits spiralés (pocios) profonds de plusieurs mètres, reliés par un réseau d’aqueducs souterrains.

Ils étaient très faciles d'accès et les habitants actuels s'en servent encore !

Pour lui, les figures et lignes serviraient de repères pour retrouver les résurgences et sources alimentant ce réseau...

 

Le chien !
Le chien !

Le chien !

Le colibri !Le colibri !
Le colibri !
Le colibri !Le colibri !Le colibri !

Le colibri !

La théorie électro sismique :


Toujours un Américain (ils ont de l'imagination !) Pour Michaël Vaillant, des conducteurs sous forme de fines feuilles de cuivre, d'or ou d'argent auraient été étendus sur le terrain.

Ces conducteurs auraient pu être utilisés comme des antennes pour écouter les ondes très basses fréquences produites par les séismes...

Les lignes de Nazca aujourd'hui observées seraient en fait la marque de l'emplacement où auraient été déposés ces conducteurs, mais aussi des nombreux tests qui auraient été effectués afin de trouver des positions adéquates, dans l'axe des champs électromagnétiques...

 

 

Le condor !
Le condor !Le condor !

Le condor !

La théorie ufologique :


Les figures de Nazca seraient soit une piste d'atterrissage pour des vaisseaux spatiaux extraterrestres, soit un message réalisé par la population locale à leur attention !

À cette théorie, la mathématicienne allemande Maria Reiche répondait que les prétendues pistes d'atterrissage, étant des zones débarrassées de leurs pierres, n'offraient qu'un sol des plus mous dans lequel les vaisseaux extraterrestres n'auraient pas manqué de s'enfoncer... suffisant comme antithèse pour éliminer cette théorie ?

Pas si sûr, en effet entre la figure de l’astronaute et le mythe naissant de la découverte de corps "Extra terrestre" momifiés, ressemblant à s'y méprendre au personnage de Roswell mais retrouvé cette fois ci dans une tombe du désert de Nazca... voilà qui pourrait laisser place à beaucoup de possibilité extraordinaire !

Une photo mise en avant par Von Däniken en 1970 et laissant voir une configuration qui, selon lui, évoquait grandement une aire de stationnement d'avion dans un aéroport moderne, est la vue, recadrée, de l'articulation du genou d'une des représentations d'oiseau, le vaisseau qui s'y garerait devrait donc être bien minuscule... mais les corps momifiés sont eux aussi de petite taille.

En fait, la théorie de von Däniken est reprise de remarques faites par le premier chercheur à avoir étudié les lignes, Paul Kosok, en 1947 : « Observées depuis les airs, les lignes se virent baptisées de "terrains d'atterrissage préhistoriques" et comparées par plaisanterie aux prétendus canaux de Mars...

La petite Parenthèse Science Fiction... ou pas ?

Thierry Jamin est un explorateur français, un véritable spécialiste des civilisations précolombiennes, il a découvert les momies extraterrestres au Pérou.

Pour lui, ces momies sont authentiques, et ils prouveraient même que les extraterrestres se sont reproduits avec des humains !

La pièce maîtresse de Thierry Jamin est en effet une créature momifiée et recroquevillée sur elle-même, avec trois doigts de main. Le chercheur est persuadé que c’est là la preuve d’un croisement d’être humain et d’extraterrestre.

Des analyses ADN sont en cours au moment de la rédaction de cet article... peut être entendrez vous parler de ce sujet bientôt dans les médias Francophones ?

Info ou intox ?
Info ou intox ?

Info ou intox ?

L'araignée
L'araignéeL'araignée
L'araignée

L'araignée

Le héron....
Le héron....Le héron....

Le héron....

Mais gardons un instant les pieds sur terre, les théories les plus "probables" :

La théorie de Kosok, le premier scientifique à les avoir réellement étudiés.

Il remarqua que lors du solstice d’été, les rayons du soleil couchant étaient parallèles à certaines lignes et avança ainsi l’idée que le site de Nazca ne serait ni plus ni moins que « le plus grand livre d’astronomie du monde ».

Son hypothèse trouva une suite dans les travaux de Maria Reiche, une mathématicienne allemande qui passa la majeure partie de sa vie à l’étude et à la préservation de ce patrimoine archéologique.

En effet, selon cette dernière, l’ensemble des géoglyphes formait un gigantesque calendrier astronomique qui aurait servi de repère aux Nazcas pour organiser leurs activités agricoles et religieuses ! Ok ça fait un poil moins rêver que les extra terrestre mais...

Une superbe photo pour se rendre compte des dimensions... mais aussi que la route coupe la queue du Lézard !
Une superbe photo pour se rendre compte des dimensions... mais aussi que la route coupe la queue du Lézard !

Une superbe photo pour se rendre compte des dimensions... mais aussi que la route coupe la queue du Lézard !

D’autres hypothèses tout aussi probables avancent notamment que les lignes de Nazca auraient pu servir pour des rites consacrés aux divinités ou aux défunts.

Début 2015, une équipe de chercheurs italiens dirigés par Rosa Lasaponara est quant à elle arrivée à la conclusion que les géoglyphes de Nazca auraient fait partie d’un réseau d’aqueducs, connus sous le nom de "Puquios" et qui aurait servi aux Nazcas pour faire face à la pénurie d’eau et dont les vestiges sont aujourd’hui toujours présents...

Eternel problème : rien ne permet actuellement de prouver qu’il existe un lien effectif entre ces   « Puquios » et les fameuses lignes du site...

Allons maintenant voir du côté de la Nécropole des Nazcas pou en savoir plus sur ces fameuses momies...

Focus : Les mystères de Nazca

Imaginez un désert à perte de vue, puis au loin un petit bâtiment servant d'entrée, une toiture pour protéger les véhicules du soleil et autour de vous du sable, rien que du sable...

Non pas que du sable... parfois quelques morceaux d'étoffes, et des pierres blanches aussi...

Mais quand on se penche dessus, ces pierres ont une forme différente... celle d'ossements !

Bienvenue à la Nécropole Nazca !

La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !
La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !

La nécropole, un cimetière à cœur ouvert... des côtes, tibias, fémurs... jonche le sol tout autour de nous !

On peut en apprendre beaucoup d’une civilisation en examinant la façon dont il traite leur défunts.

Particulièrement au Pérou, où les nombreuses civilisations pré-incaïques ont laissé leurs empreintes : mochica, chimú, nazca, chachapoya...

Chacune de ces cultures avait ses propres rites funéraires, reflets de ses croyances concernant la vie après la mort et la place de l'homme dans l'éternité.

Ici, les Archéologues ont mis au jour des centaines de sépultures dans lesquelles ils ont découvert des cadavres bien conservés, enveloppés dans plusieurs mètres de coton non tissé ou d’étoffes dont certaines étaient embellies de divers motifs magnifiquement travaillés.

Les sables chauds et secs du désert de Nazca, identique à celui qui recouvrent une bonne partie de la côte pacifique du Pérou, ont livré aux archéologues des milliers de momies presque intactes, de précieux indices pour comprendre comment vivait les Nazcas... et aussi comment il vivait après la mort !

une pièce de 3 mètres par 5 servant de musée où on y découvre des momies quasi identiques de celles du site...
une pièce de 3 mètres par 5 servant de musée où on y découvre des momies quasi identiques de celles du site...
une pièce de 3 mètres par 5 servant de musée où on y découvre des momies quasi identiques de celles du site...

une pièce de 3 mètres par 5 servant de musée où on y découvre des momies quasi identiques de celles du site...

Chaque culture péruvienne appréhende la mort différemment : rupture brutale avec la vie pour certaines, prolongement de la vie pour les autres...

Dans les Andes anciennes, pré-Incaïque, la mort et le corps des défunts étaient particulièrement respectés et faisaient l’objet d’une grande attention et d'une très soigneuse préparation.

Entre la préservation des défunts, le traitement même des corps et leur préparation minutieuse, l’arrangement des sépultures, leur forme ou encore les rituels funéraires, indiquent l’importance de la mort et des morts dans la vie des vivants.

Ils traduisent l’interaction entre les concepts de vie et de mort dans la pensée Andine, où la mort fait partie de la vie et la vie fait partie de la mort.

Même si aujourd'hui cette attention est un peu différente...

La première tombe en entrant dans la nécropole
La première tombe en entrant dans la nécropoleLa première tombe en entrant dans la nécropole

La première tombe en entrant dans la nécropole

Les descriptions transmise par les objets et dessins retrouvés ainsi que les matériels ostéologiques retrouvés lors de fouilles mais aussi les momies elles même, témoignent des différentes préparations et des pratiques de rituelles funéraires que les différents peuples des Andes anciennes ont réservé à leurs morts. 

Dans le cas des Nazcas, le procédé consiste en l'enveloppement des défunts dans plusieurs tissus, dont l’épaisseur des couches formait ce que l’on appelle des "fardos funerarios" ou "ballots funéraires".

Parfois entre chaque couche, on pouvait trouver du coton.

Les corps sont systématiquement placés en position du fœtus, les genoux remontés sous le menton, les membres supérieurs et inférieurs sont souvent attachés pour maintenir la posture pendant la période "dite" de sèche.

Les étoffes qui leur servaient à envelopper les corps étaient souvent des étoffes qui n’avaient jamais été portées, tissées spécialement pour les funérailles, et pouvaient atteindre des dizaines de mètres de long sur certains individus.

Des milliers d’heures étaient donc nécessaire pour tisser ces étoffes, il est quasiment certain que les vivants passaient une partie de leur vie à la préparation de leur mort.

Avant d’être enveloppés dans leurs étoffes, les défunts recevaient une toilette rituelle, après quoi on les habillait et les parait de plumes mais aussi de leur bijoux.

Un effort particulier était donc consacré à la « mise en beauté des morts », comme dans notre société actuelle.

On observe parfois certains corps dont on a tressé les cheveux, formant des coiffures complexes, et d'autres coiffé d'un "llautos",  épais turbans colorés qui couvraient la tête des hommes.

Il arrive fréquemment de retrouver dans ces "ballots funéraires", placés entre les couches de tissus ou tout contre le corps, des épis de maïs, des feuilles de coca, des fleurs de coton, ou encore des figurines anthropomorphes en or habillées de petits vêtements...

C'est d’ailleurs cette pratique qui attira les "pilleurs de tombe" et fit de ces zones sacrées, une nécropole aujourd'hui protégée !

Des tombeaux souvent partagés, mais sont-ils de la même famille ? Mort le même mois ? difficile à dire !Des tombeaux souvent partagés, mais sont-ils de la même famille ? Mort le même mois ? difficile à dire !
Des tombeaux souvent partagés, mais sont-ils de la même famille ? Mort le même mois ? difficile à dire !
Des tombeaux souvent partagés, mais sont-ils de la même famille ? Mort le même mois ? difficile à dire !Des tombeaux souvent partagés, mais sont-ils de la même famille ? Mort le même mois ? difficile à dire !

Des tombeaux souvent partagés, mais sont-ils de la même famille ? Mort le même mois ? difficile à dire !

Focus : Les mystères de Nazca
Focus : Les mystères de Nazca

Les sépultures :

Lors de la mise en sépulture, la famille réunissaient autour du corps tous les biens du défunt, que ce soit sandales ou bijoux, vêtements usagés, outils et accessoires professionnels (armes, instruments de musique en coquillage, trousseau de tissage, parfois même filet de pêche !), animaux domestiqués (lamas, cochons d’inde, chiens).

Nous ne sommes pas encore dans les traditions incas où à cette période là les serviteurs et épouses pour les empereurs, étaient souvent inhumés avec les défunts !

On déposait également auprès des corps des offrandes, telles que de la nourriture, de la chicha  mais également des étoffes. 

Les sepultures, des tombeaux en roches au ras du sol pour préserver du vent et protéger du sable.Les sepultures, des tombeaux en roches au ras du sol pour préserver du vent et protéger du sable.
Les sepultures, des tombeaux en roches au ras du sol pour préserver du vent et protéger du sable.
Les sepultures, des tombeaux en roches au ras du sol pour préserver du vent et protéger du sable.Les sepultures, des tombeaux en roches au ras du sol pour préserver du vent et protéger du sable.Les sepultures, des tombeaux en roches au ras du sol pour préserver du vent et protéger du sable.

Les sepultures, des tombeaux en roches au ras du sol pour préserver du vent et protéger du sable.

Focus : Les mystères de Nazca
Focus : Les mystères de NazcaFocus : Les mystères de Nazca

Momie ? Vous avez dit Momie ?

Il y a erreur lorsqu'on les appels rapidement « momies » péruviennes, les procédés qui étaient employés pour la préservation des dépouilles n'ont rien de commun avec la préparation des momies égyptiennes.

Concernant les Vicaires, dans la majorité des cas il s’agissait de préserver le corps dans son état d’origine, intact, sans procédé particulier de momification. 

Le terme de momie est en réalité employé pour illustrer l’excellent état de conservation des corps, qui ne connaissent pas ou peu de décomposition grâce à l’étanchéité des sépultures et/ou à la l’absence d’humidité du désert de Nazca.

Chambre funéraireChambre funéraire
Chambre funéraire
Chambre funéraireChambre funéraire

Chambre funéraire

On fait la fête dans l'entre monde ?

Dans la nécropole de Nazca, les défunts étaient enterrés seuls, dans des tombes individuelles, ou bien placés dans des chambres funéraires pouvant accueillir plusieurs corps.

Les tombes collectives sont bien souvent associées à des offrandes humaines correspondant au sacrifice des serviteurs, des épouses ou d’autres membres de la famille pour les défunts de statut social important.

Dans certaines chambres funéraires on peut voir des enfants avec les adultes, possible que dans la civilisation Nazca, les enfants rendus orphelins étaient sacrifiés lors des funérailles des parents... Encore une fois, rien n'atteste ces rituels mais ils sont à prendre en compte néanmoins car le cas de figure se répète souvent dans les différentes chambres funéraires fouillées.

Focus : Les mystères de Nazca
Focus : Les mystères de NazcaFocus : Les mystères de Nazca
Focus : Les mystères de Nazca
Une enfant seul, d'une dizaine d'année au vu de la taille du corps.
Une enfant seul, d'une dizaine d'année au vu de la taille du corps.

Une enfant seul, d'une dizaine d'année au vu de la taille du corps.

C'est le moment pour moi de vous laisser,

Certainement le Focus le plus prenant que j'ai réalisé ! beaucoup de recherches sur internet, vidéos, livres ouverts et achetés ici même pour obtenir le maximum de détail sur les Nazca.

Comme prévu au début, vous fermerez cette page avec un gout inachevé, mais c'est à vous de vous faire la fin qui vous passionnera le plus, n'hésitez pas à nous la partager si elle est différentes des autres théories :)

@ Bientôt pour un autre Focus... en direct du célèbre Machu Picchu !

Bertrand

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